Mise en scène : Mathilde Flament-Mouflard - Chorégraphie : Léa Georges
Avec Léa Georges, Claire Isirdi, Yoann Rollo
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Je me suis fait prendre par l’orage Mathilde Flament-Mouflard
Une incitation à rêver ensemble sans chercher à démêler le vrai du faux, l'illusion de la réalité. Une histoire qui mêle théâtre, danse et musique.
Les protagonistes racontent une histoire. Mais ils ne disent pas s’il s’agit d’un mensonge ou d’une réalité.
C’est un spectacle qui n’est pas qu’une pièce de théâtre mais un mélange de textes et d’auteurs, de genres et d’époques. Un spectacle où une tirade de Cyrano de Bergerac succède à un monologue de Denise Bonal ou de Tchekov. Les textes contemporains côtoient les classiques, ou des textes originaux, écrits pour le spectacle. La danse se mêle à cet univers. Elle permet au spectateur d’être bercé tant par la parole que par la musique, elle le laisse promener son regard sur les personnages et se perdre entre le réel et l’imaginaire. Ne pas être sûr. Ne plus savoir.
2
Cette pièce est une délicieuse rêverie poétique. Dès les premiers mots on entre dans son univers, accroché aux lèvres des acteurs. Ils offrent une prestation dynamique et scintillante de cette réfléchir sur les limites de la fiction. Les amateurs se délecteront de la voir illustrer par l'incursion de textes classiques. Les spectateurs moins aguerris s'emerveilleront de la subtilité du glissement de la prise vers l'alexandrin de Rostand. Autour de ce texte la danse nous apparaît toujours naturelle, essentielle, à ce moment du récit. Un plaisir uniquement souligné par le talent de la danseuse.
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Je me suis fait prendre par l’orage Mathilde Flament-Mouflard
Mise en scène : Mathilde Flament-Mouflard - Chorégraphie : Léa Georges
Avec Léa Georges, Claire Isirdi, Yoann Rollo
Une incitation à rêver ensemble sans chercher à démêler le vrai du faux, l'illusion de la réalité. Une histoire qui mêle théâtre, danse et musique.
Les protagonistes racontent une histoire. Mais ils ne disent pas s’il s’agit d’un mensonge ou d’une réalité.
C’est un spectacle qui n’est pas qu’une pièce de théâtre mais un mélange de textes et d’auteurs, de genres et d’époques. Un spectacle où une tirade de Cyrano de Bergerac succède à un monologue de Denise Bonal ou de Tchekov. Les textes contemporains côtoient les classiques, ou des textes originaux, écrits pour le spectacle. La danse se mêle à cet univers. Elle permet au spectateur d’être bercé tant par la parole que par la musique, elle le laisse promener son regard sur les personnages et se perdre entre le réel et l’imaginaire. Ne pas être sûr. Ne plus savoir.
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Cette pièce est une délicieuse rêverie poétique. Dès les premiers mots on entre dans son univers, accroché aux lèvres des acteurs. Ils offrent une prestation dynamique et scintillante de cette réfléchir sur les limites de la fiction. Les amateurs se délecteront de la voir illustrer par l'incursion de textes classiques. Les spectateurs moins aguerris s'emerveilleront de la subtilité du glissement de la prise vers l'alexandrin de Rostand. Autour de ce texte la danse nous apparaît toujours naturelle, essentielle, à ce moment du récit. Un plaisir uniquement souligné par le talent de la danseuse.
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