Avec Mathieu Gautron- bandonéon, Leandro Lacapere, piano, Sebastian Missaglia – voix

MUSIQUE Apero Concerts

Osvaldo Carné

Une légende ramenée d’Amérique du sud par 3 titis des trottoirs de Buenos-Aires, franco-argentins, pour chanter le fracas du XXIe siècle.

 

Osvaldo Carné, c’est une légende qui raconte que le chien qui lui a arraché la moitié du visage emporta avec lui et à jamais, son indifférence. Désormais sans masque son image taraude les esprits d’une vérité aussi profonde que ses cicatrices. Son regard nous perce à jour, éventre nos carcans et remue jusqu'à nos évidences. Quand ce héros surgit, les consciences s’éveillent, un vent souffle…

Osvaldo Carné c’est un trio (voix, piano, bandonéon) qui rassemble trois magnifiques musiciens, autour de ce mythe sud-américain. Il joue de la musique franco-argentine, danse comme un porteno des années 50, raconte la foule de Belleville, chante le fracas du XXIe siècle.

 


Tarif sur place: 12 €
Tarif reduit: 12 €*
* +0,50€ de frais bancaire.


Durée: 70 mn

Partager

Osvaldo Carné

MUSIQUE Apero Concerts

Avec Mathieu Gautron- bandonéon, Leandro Lacapere, piano, Sebastian Missaglia – voix


Tarif sur place: 12 €
Tarif reduit: 12 €*
* +0,50€ de frais bancaire.



Durée: 70 mn


Une légende ramenée d’Amérique du sud par 3 titis des trottoirs de Buenos-Aires, franco-argentins, pour chanter le fracas du XXIe siècle.

 

Osvaldo Carné, c’est une légende qui raconte que le chien qui lui a arraché la moitié du visage emporta avec lui et à jamais, son indifférence. Désormais sans masque son image taraude les esprits d’une vérité aussi profonde que ses cicatrices. Son regard nous perce à jour, éventre nos carcans et remue jusqu'à nos évidences. Quand ce héros surgit, les consciences s’éveillent, un vent souffle…

Osvaldo Carné c’est un trio (voix, piano, bandonéon) qui rassemble trois magnifiques musiciens, autour de ce mythe sud-américain. Il joue de la musique franco-argentine, danse comme un porteno des années 50, raconte la foule de Belleville, chante le fracas du XXIe siècle.

 

Partager