Finally Stephen Belber, traduction Lucie Tiberghien
Un spectacle où les mots swinguent au rythme des claquettes et de vieux standards de jazz qui égrènent avec magie leurs paillettes abîmées.
C'est l'histoire d'une famille qui bégaye : quatre personnages issus de la middle class américaine, se racontent à tour de rôle. Il y a le jeune homme, ancien joueur de football américain, Jessie, sa femme, puis Sweetie, le chien de Jessie lorsqu’elle était petite fille ; et enfin Raymond, le coach de l’équipe du jeune homme. Ils portent en eux leurs secrets, leur violence et l’amour qui les unit. Tous se rassurent car FINALEMENT les choses sont comme elles doivent être. Mais alors quel est le point de départ de toute cette histoire? Serait-ce cet ange, Travis, qui danse autour d’eux?
La presse en parle
… « un bon rythme, la mise en scène est précise, et on ne peut rester insensible à la force du texte et à l’empathie que Yano Iatridès réussit à créer avec son public…/…Hervé Le Goff, qui l’accompagne en dansant des claquettes sur des standards de jazz. C’est aussi discret que brillant...» Ph. du Vignal 12-12-2013
Finally Stephen Belber, traduction Lucie Tiberghien
Mise en scène : Julien Bleitrach
Avec Yano Iatridès et Hervé Le Goff
Un spectacle où les mots swinguent au rythme des claquettes et de vieux standards de jazz qui égrènent avec magie leurs paillettes abîmées.
C'est l'histoire d'une famille qui bégaye : quatre personnages issus de la middle class américaine, se racontent à tour de rôle. Il y a le jeune homme, ancien joueur de football américain, Jessie, sa femme, puis Sweetie, le chien de Jessie lorsqu’elle était petite fille ; et enfin Raymond, le coach de l’équipe du jeune homme. Ils portent en eux leurs secrets, leur violence et l’amour qui les unit. Tous se rassurent car FINALEMENT les choses sont comme elles doivent être. Mais alors quel est le point de départ de toute cette histoire? Serait-ce cet ange, Travis, qui danse autour d’eux?
La presse en parle
… « un bon rythme, la mise en scène est précise, et on ne peut rester insensible à la force du texte et à l’empathie que Yano Iatridès réussit à créer avec son public…/…Hervé Le Goff, qui l’accompagne en dansant des claquettes sur des standards de jazz. C’est aussi discret que brillant...» Ph. du Vignal 12-12-2013