Mise en scène : Charles Meillat – Lumières Marin Peylet
Avec Maya Outmizguine – Musique Joaquim Pavy

THEATRE théâtre d'auteur

Stabat mater furiosa Jean Pierre Siméon

Une femme parle au nom de toutes les femmes. N’utilisant que sa parole pour mettre à la question l’homme de guerre. Un poème dramatique, implacable.

 

 

Le texte de Jean-Pierre Siméon est rythmique, le verbe est physique, La phrase ne s’arrête pas… sauf par le point final. La langue, vivante et en mouvement, fait le spectacle. Chaque mot est un acte.

C’est une longue invective contre l’homme de guerre. Sans douleur mais avec une fureur nette, sans élan, définitive.

La musique, jouée en direct, inspirée de Vivaldi, vient soutenir, parfois contredire, la prose de Jean Pierre Siméon. Elle nous traverse et résonne.

 

La presse en parle

« Maya Outmizguine interprète avec talent… une vérité terrible qui prend aux tripes. Une vérité puissante sur la responsabilité de l’homme ». La Nouvelle abeille. Sept 2016

« …ne manquez pas ce grand moment…. Porté par une musique éblouissante, une mise en scène talentueuse, une actrice inoubliable ». Le populaire du Centre. 9 Sept 2016.

 

Le site du collectif Champ Libre


Tarif sur place: 16 €
Tarif reduit: 12 €*
* +0,50€ de frais bancaire.


Durée: 55 mn

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Stabat mater furiosa Jean Pierre Siméon

THEATRE théâtre d'auteur

Mise en scène : Charles Meillat – Lumières Marin Peylet
Avec Maya Outmizguine – Musique Joaquim Pavy


Tarif sur place: 16 €
Tarif reduit: 12 €*
* +0,50€ de frais bancaire.



Durée: 55 mn


Une femme parle au nom de toutes les femmes. N’utilisant que sa parole pour mettre à la question l’homme de guerre. Un poème dramatique, implacable.

 

 

Le texte de Jean-Pierre Siméon est rythmique, le verbe est physique, La phrase ne s’arrête pas… sauf par le point final. La langue, vivante et en mouvement, fait le spectacle. Chaque mot est un acte.

C’est une longue invective contre l’homme de guerre. Sans douleur mais avec une fureur nette, sans élan, définitive.

La musique, jouée en direct, inspirée de Vivaldi, vient soutenir, parfois contredire, la prose de Jean Pierre Siméon. Elle nous traverse et résonne.

 

La presse en parle

« Maya Outmizguine interprète avec talent… une vérité terrible qui prend aux tripes. Une vérité puissante sur la responsabilité de l’homme ». La Nouvelle abeille. Sept 2016

« …ne manquez pas ce grand moment…. Porté par une musique éblouissante, une mise en scène talentueuse, une actrice inoubliable ». Le populaire du Centre. 9 Sept 2016.

 

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